Un projet culturel d’essence littéraire d’où cette référence volontaire à un grand titre de la littérature contemporaine : Réparer les vivants de Maylis de Kérangal.
Mais ici la réparation est toute autre. Elle est révélation de soi pour des collégiens par la fiction romanesque, l’imaginaire, l’écriture, la prise de parole et l’engagement dans un projet permettant à chacun de retrouver l’estime de soi dans le groupe et au sein de son établissement. « Le héros, écrit Boris Cyrulnik, est notre porte-parole, il donne de nous-même une image revalorisée. (…) Le héros, sa vie, son œuvre racontent une histoire de réparation dans des contextes culturels qui ne cessent de changer. »
Ce projet a pour conséquence de lutter contre le décrochage scolaire sans stigmatisation. C’est pourquoi la constitution des groupes de travail et la présentation du projet sont capitales en mettant en avant par exemple, les compétences de chacun que l’écriture du roman aidera à exprimer.
L’expérience prouve qu’il est nécessaire d’inclure les parents dans le projet.
Une action validée et subventionnée par l’IA en 2015-2016.
Et soutenu par la Sofia, la Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la littérature, le Conseil Départemental 31, la mairie de Toulouse, le CFC, la Fondation du Crédit Mutuel pour la Lecture, la Société des Gens de Lettres, la Fondation d’entreprise La Poste.